samedi 28 novembre 2015

The Revolution of Ivy - Amy Engel



Editions Lumen
15 €

Synopsis


J’AI TOUT PERDU. MON FOYER. MA FAMILLE. L’HOMME QUE J’AIME.
Ce serait si facile de capituler, de fermer les yeux et d’attendre que la faim et la soif aient raison de moi. Ou bien qu’une bête sauvage me trouve. Ou même un autre survivant… Mais je refuse d’abandonner. J’en ai terminé avec la lâcheté. Il est temps pour moi d’agir, enfin.
Bishop me l’avait bien dit, cet univers hostile ne pardonne pas la moindre erreur. Et au-delà de la barrière, c’est encore pire. L’hiver approche, et si je veux survivre, il va me falloir trouver de l’eau, des vivres, un abri. D’autres condamnés avec lesquels m’allier. Mais surtout, je vais devoir faire un choix : dois-je oublier ma vie d’avant, me venger de ceux qui m’ont trahie… ou mener, purement et simplement, la révolution ?
CAR JE NE SUIS PLUS UNE WESTFALL, NI UNE LATTIMER. SIMPLEMENT IVY. ET JE SUIS ENFIN LIBRE.

Mon avis


"The Revolution of Ivy" suit son grand frère pour ce qui est de la qualité.

On retrouve le style de l'auteure, avec les fameux détails que j'avais bien aimés. Sauf que là, certaines descriptions étaient tellement réalistes que rien que le faite de les imaginer m'a forcé à fermer le livre quelques secondes.

Ensuite, souvenez-vous, dans ma chronique de "The Book of Ivy" j'attendais le tome 2 pour découvrir à Bishop quelques défauts qui l'auraient rendu encore plus attrayant. Malheureusement pour moi, Bishop est toujours aussi parfait ...
Pour continuer dans les points négatifs, il y a un chapitre qui m'a un peu exaspéré dans ce livre. C'est un chapitre, qui, synthétisé au maximum, donne "Je t'aime" "Moi aussi mais c'est compliqué" "Mais tu ne m'aimes pas alors ?" "Si mais ...".

Après, cela dépend vraiment des goûts, autant pour la personnalité de Bishop que pour ce chapitre.

Pour finir, le plus gros point fort de ce livre c'est sa fin. Pas son épilogue, mais le dénouement final de l'histoire. 
Je l'ai trouvé très touchant : il ressemble à celui de "Roméo et Juliette". 
J'ai aussi retenu une belle métaphore (que je ne citerai pas ici pour ne pas tout spoiler, mais pour les curieux, c'est à la page 292, première phrase du dernier paragraphe).


Pour résumer :


- une couverture très réussie
- quelques imperfections
- une fin touchante


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